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les fêtes passées

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sommaire images d'autrefois
1959
1960
1961

1960

La Compagnie Royale des Anciens Arbalétriers de Visé fête son 650e anniversaire

A cette occasion, elle offre à la ville un perron, symbole des libertés, qui sera placé à peu près à l'endroit où l'ancien perron existait.
Il reproduit les armoiries de la ville et celles des différentes compagnies visétoises.
Dans les fondations, se trouve scellé un parchemin portant les signatures des dignitaires de la gilde.
C'est un ensemble monumental composé d'une dalle portée par quatre piliers sur lesquels on retrouve sculptées les armoiries des gildes et de la ville, le haut est composé de trois degrés supportant une colonne surmontée d'une pomme de pin et d'une croix qui sont les symboles du perron d'autrefois et qui font partie des armoiries de la ville.

En Principauté de Liège, le perron fut le lieu où les lois et les règlements devaient avoir été proclamés en public pour être appliqués.
C'est devant lui qu'officiaient les crieurs publics.
C'était le "cri du perron".
Il était ainsi le symbole de l'autorité et de l'autonomie, d'abord du Prince-Évêque, puis plus tard de la ville.
Au cours du XIVe siècle, les " Bonnes Villes " (celles possédant une charte communale) de la principauté ont aussi pu ériger leur propre perron.

Le perron est le symbole de la justice du prince-évêque de Liège.
Siècle après siècle, le perron s'est aussi affirmé comme le symbole des libertés
et des métiers et d'autonomie communale sous l'ancien Régime.
C'est un pilori devant lequel on rendait la justice, on promulguait les règlements, les mandements et les édits, on publiait les prix, on proclamait les bannissements, etc…
Souvent un chène sous lequel on rendait justice était placé devant lui

Il est constitué d'une colonne sur un socle de plusieurs degrés, surmontée d'une pomme de pin et d'une croix.
L'origine en est obscure et probablement païenne.

Le perron de Visé

Etabli dès le 12e siècle à Visé c'était un des plus anciens de la Principauté de Liège et contemporain de celui de la capitale.

Etabli sur la place du Marché, près de l'endroit actuel, il fut transféré en 1340.
L
a construction d'un encloître au profit des chanoines du Chapitre de Saint Hadelin, comprenant les alentours de la Collégiale Saint-Martinn, mais aussi la place du Marché, incita le pouvoir à le transférer plus ou moins là où se trouve aujourd'hui l'hötel de ville où il restera jusqu'en 1612.

Vint la construction de l'hôtel de ville de 1611 à 1613 qui le fit déplacer.

En 1709, on le retrouve Rue du Perron,
à l'emplacement dit "Le Tochet", là même où en 1910 les tambours-majors des Arbalétriers et des Francs-Arquebusiers se serreront la main.

Fort vétuste, il finit par disparaître au moment de la révolution française.


Le Cortège avec St Martin toujours voilé et les drapeaux non déployés, au-dessus de la Rue du Perron
Une voiture conduisait les membres les plus agés
dessin original de Poisinger

La statue de St Martin
Oeuvre de Vandesandt et Poisinger
est bénie par l'Abbé Simonon
le 3 juillet 1960
Bénédiction de la statue de St Martin en 1960 doc M. Poelmans
L'abbé Simonon, à côté de lui le Capitaine Commandant Hubert George
Au fond Albert Jaminet, tout à droite André Charlier
Le sculpteur a donné au pauvre à côte de St Martin a les traits d'Albert Jaminet
bénédiction de la statue de St martin Abbé Simonon,Michel Van Calster,André Charlier 1960

 

Elvis, the King, chante It's now or never

 

une adaptation de "O Sole Mio" (" Mon Soleil " en dialecte napolitain) titre d'une célèbre chanson populaire napolitaine, publiée en 1898 et mondialement connue.
Les paroles sont du poète napolitain Giovanni Capurro (1859 – 1920) et la musique a été composée par le chanteur napolitain Eduardo di Capua (1865 - 1917).

On est dans la mode rock et twist et des groupes mythiques sont à la une dont les fabuleux Shadows N°1 avec Apache.

The Shadows qui dans les années 2000 sévissent toujours avec des airs de guitare immortels que tout les guitaristes en herbe apprennent encore

C'était aussi une des compositions utilisée pour le thème d'ouverture du jingle des DJ the Sky-Lights

 

 

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