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La Compagnie Royale des Anciens Arbalétriers de Visé fête son 650e anniversaire
A cette occasion, elle offre à la ville un perron, symbole des libertés, qui sera placé à peu près à l'endroit où l'ancien perron existait.
Il reproduit les armoiries de la ville et celles des différentes compagnies visétoises.
Dans les fondations, se trouve scellé un parchemin portant les signatures des dignitaires de la gilde.
C'est un ensemble monumental composé d'une dalle portée par quatre piliers sur lesquels on retrouve sculptées les armoiries des gildes et de la ville, le haut est composé de trois degrés supportant une colonne surmontée d'une pomme de pin et d'une croix qui sont les symboles du perron d'autrefois et qui font partie des armoiries de la ville.En Principauté de Liège, le perron fut le lieu où les lois et les règlements devaient avoir été proclamés en public pour être appliqués.
C'est devant lui qu'officiaient les crieurs publics.
C'était le "cri du perron".
Il était ainsi le symbole de l'autorité et de l'autonomie, d'abord du Prince-Évêque, puis plus tard de la ville.
Au cours du XIVe siècle, les " Bonnes Villes " (celles possédant une charte communale) de la principauté ont aussi pu ériger leur propre perron.Le perron est le symbole de la justice du prince-évêque de Liège.
Siècle après siècle, le perron s'est aussi affirmé comme le symbole des libertés et des métiers et d'autonomie communale sous l'ancien Régime.
C'est un pilori devant lequel on rendait la justice, on promulguait les règlements, les mandements et les édits, on publiait les prix, on proclamait les bannissements, etc
Souvent un chène sous lequel on rendait justice était placé devant lui
Il est constitué d'une colonne sur un socle de plusieurs degrés, surmontée d'une pomme de pin et d'une croix.
L'origine en est obscure et probablement païenne.
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Le Cortège avec St Martin toujours
voilé et les drapeaux non déployés, au-dessus de la Rue du
Perron
Une voiture conduisait les membres les plus agés
La
statue de St Martin
Oeuvre de Vandesandt et Poisinger
est bénie par l'Abbé Simonon
le 3 juillet 1960
L'abbé Simonon, à côté de lui le Capitaine Commandant Hubert
George
Au fond Albert Jaminet, tout à droite André Charlier
Le sculpteur a donné au pauvre à côte de St Martin a les
traits d'Albert Jaminet
Elvis, the King, chante It's now or never
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une adaptation de "O Sole
Mio" (" Mon Soleil " en dialecte
napolitain) titre d'une célèbre chanson populaire napolitaine,
publiée en 1898 et mondialement connue.
Les paroles sont du poète napolitain Giovanni Capurro (1859
1920) et la musique a été composée par le chanteur
napolitain Eduardo di Capua (1865 - 1917).
On est dans la mode rock et twist et des groupes mythiques sont
à la une dont les fabuleux Shadows N°1 avec Apache.
The Shadows qui dans les années 2000 sévissent toujours avec des airs de guitare immortels que tout les guitaristes en herbe apprennent encore
C'était aussi une des compositions utilisée
pour le thème d'ouverture du jingle des DJ the Sky-Lights